« ‘Dans le cas d'une clause de non-sollicitation ordinaire, les tribunaux ont reconnu que le conseiller qui quitte son employeur de son plein gré a le droit d'informer ses clients de son départ et de dire où il va’, explique Bernard Synnott, bâtonnier du Québec et associé chez Fasken Martineau. ‘Après son départ, un conseiller peut envoyer un avis général, une lettre ou un courriel où il mentionne qu'il a changé d'employeur en indiquant sa nouvelle adresse.’ »