Le Globe and Mail cite Peter Kirby, avocat de Montréal, dans un article sur les conséquences pour les entreprises canadiennes si l’ALÉNA venait à être aboli, surtout en ce qui a trait à l’excédent commercial et aux investissements.
« Ce n’est pas seulement la possibilité de l’abolition de l’ALÉNA », note l’avocat en droit commercial Peter Kirby, un associé chez Faskern Martineau. « Même une simple menace est suffisante pour dissuader les entreprises qui veulent un accès aux É.-U. via l’ALÉNA de s’implanter ou d’investir au Canada ».