Mail & Guardian cite Rosemary Hunter, avocate de Johannesburg, dans un article sur les caisses de retraite.
Une « femme en colère, méfiante et même vindicative ». Voilà comment la lanceuse d’alerte Rosemary Hunter a été décrite dans la déclaration sous serment déposée devant le tribunal de première instance par son ancien patron Dube Tshidi, directeur général de l’ancien Financial Services Board (FSB).
Mme Hunter est grande, même lorsqu’elle est assise. Elle se qualifie de « disgracieuse ».
Mais assise dans les bureaux de Sandton du cabinet d’avocats Fasken spécialisé en droit des affaires, où elle travaille actuellement, il est difficile de la croire. Son apparence a été coordonnée par sa fille, affirme-t-elle.