Nikolas est le leader du groupe de pratique en litige immobilier au bureau de Montréal. Il concentre sa pratique en litige commercial, immobilier et contractuel, incluant l’expropriation. Il plaide régulièrement devant les tribunaux civils et administratifs québécois et il a eu l’occasion de plaider devant la Cour suprême du Canada.
Litige immobilier et expropriation
Nikolas est le leader du groupe de pratique en litige immobilier au bureau de Montréal. Son expérience est vaste et touche différents domaines : l’expropriation, les baux commerciaux, la taxation municipale (sites commerciaux, industriels et miniers), la copropriété, les projets immobiliers, les transactions immobilières, le zonage et l’urbanisme, les vices cachés, la contamination des sols, l’évaluation d’actifs immobiliers, les troubles de voisinage, etc.
Avocat spécialisé en expropriation : Nikolas est l’un des rares avocats du cabinet à couvrir tout aspect lié à l’expropriation. Il s’est illustré dans de multiples causes en expropriation et il est présentement actif dans plus d’une vingtaine de dossiers d’expropriation dont la valeur des actifs affectés en totalité ou en partie excèdent le milliard de dollars. Nikolas a inauguré et préside les colloques du Barreau du Québec en droit de l’expropriation et il a mis sur pied chez Fasken une équipe sans pareil en droit de l’expropriation. Dans le cadre de l’étude du projet de loi 66 (accélération de certains projets d’infrastructure), Nikolas a été reconnu comme un avocat spécialisé en droit de l’expropriation devant la Commission permanente des finances publiques de l’Assemblée nationale du Québec. Vous pouvez consultez le vidéo de sa présence en commission parlementaire en cliquant ici. De plus, Nikolas donne fréquemment des conférences en matière d’expropriation. Il a d’ailleurs récemment été conférencier lors de l’Institut Fasken L’expropriation – tout ce qu’il faut savoir : rudiments, enjeux et défis. La webdiffusion de cette conférence est disponible en cliquant ici. Il est également auteur en droit de l'expropriation et a été cité par la Cour d'appel du Québec.
Avocat spécialisé en droit de l’urbanisme et en expropriation déguisée : Nikolas pratique également en droit de l’urbanisme et en expropriation déguisée. Il a récemment donné une conférence dans le cadre de l’Institut Fasken Propriétaires, développeurs et contribuables mis à mal : Zonage conservation, contrôle intérimaire et expropriation déguisée.La webdiffusion de cette conférence est disponible en cliquant ici.
Droit de la construction
Nikolas a également développé une expertise particulière en droit de la construction et use de son expérience dans le domaine afin d’épauler efficacement des clients dans la réalisation de leurs projets. Il conseille ainsi fréquemment de petites et grandes entreprises dans le cadre de toutes leurs demandes relatives au droit de la construction, notamment en matière de règlements de différents.
Litige contractuel et civil
Nikolas est aussi régulièrement amené à résoudre des litiges en droit contractuel. Il a débattu de la portée de multiples contrats complexes de tout ordre qui impliquent des clients de différents secteurs du monde des affaires. Depuis quelques années déjà, il développe une spécialité en interprétation des contrats et offre régulièrement de la formation continue à ses collègues. À titre illustratif, il a publié un article de fond sur le principe de l’acte clair en droit québécois, dans la Revue du Barreau, et il est un auteur cité par la Cour.
Intégrité. Détermination. Justice.
Nikolas s’engage, avec intégrité et détermination, à déployer tous les efforts pour que ses clients obtiennent justice. Devant les tribunaux, il n’hésite pas à déployer les arguments les plus créatifs et ingénieux, en vue de mener à bien les missions qui lui sont confiées. Ses dossiers nécessitent souvent des interventions procédurales rapides qui impliquent des ordonnances de sauvegarde, des saisies, des injonctions, des évictions, etc.
Nikolas plaide régulièrement devant les tribunaux civils et administratifs québécois, tant en première instance qu’en appel. Il a également eu l’occasion de plaider devant la Cour suprême du Canada.