Financial Post cite l’avocat torontois, Krisztián Tóth, dans un article sur comment les sociétés fictives ont éludé les mesures réglementaires, ainsi que les étapes proposées par la Commission des valeurs mobilières visant à freiner leur multiplication.
« Je peux comprendre la raison qui motive cette lutte, car si des entreprises cotées n’ont pas de réelles activités », affirme Krisztián Tóth, associé du groupe des valeurs mobilières de Fasken Martineau S.E.N.C.R.L. s.r.l. à Toronto, « ce n’est pas la Bourse des valeurs canadiennes qui arrêtera les méfaits commis par ces entités, la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario devra intervenir. »
« Je suis certain qu’on n’a pas réellement fait preuve de diligence, et il y a aussi la question des frais. Une combinaison de ces deux facteurs a probablement mené à cette situation », ajoute Tóth.
« Ils ont toujours disposé de cette latitude. L’organisme de réglementation leur a donc indiqué qu’il avait des inquiétudes à cet égard », affirme Tóth.