La Presse cite Vanessa Henri, avocate de Montréal, dans un article sur un logiciel de reconnaissance faciale.
« Que ce soit branché à l’internet ou pas, il y a une collecte de données et de renseignements personnels qui se fait », souligne l’avocate Vanessa Henri, spécialiste de la protection des données personnelles au cabinet Fasken.
« Au Québec, le consentement doit être explicite. Il faut que ce soit expliqué aux gens pour qu’ils puissent donner un consentement éclairé, et donner d’autres options à ceux qui n’y consentent pas. »