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Corporate Secretary interviewe Bradley Freelan et Aaron Atkinson, avocats spécialisés en fusions et acquisitions, pour un article sur l’Étude de 2015 sur les OPA hostiles canadiennes, publiée par Fasken Martineau

Fasken
Temps de lecture 3 minutes
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Aperçu

« De nouvelles règles pour les OPA hostiles au Canada » par David Bogoslaw, Corporate Secretary

Lire l'article (disponible en anglais seulement)

Bradley Freelan et Aaron Atkinson, avocats spécialisés en valeurs mobilières et en fusions et acquisitions à Toronto, figurent dans un article sur l’Étude de 2015 sur les OPA hostiles canadiennes, publiée récemment par Fasken Martineau. MM. Atkinson et Freelan sont les auteurs de l’étude. Il s’agit de la deuxième étude empirique d’envergure publiée par Fasken Martineau au cours des dernières années. Le cabinet a publié les résultats de son étude sans précédent sur les courses aux procurations au Canada en janvier 2013, ainsi qu’une seconde édition de cette étude en 2014.

Extrait

Les autorités canadiennes de réglementation des valeurs mobilières s’apprêtent à proposer des modifications qui uniformiseront les règles du jeu pour les émetteurs visés et les initiateurs d’OPA hostiles. Or, une nouvelle étude révèle que les émetteurs visés ne seraient pas aussi désavantagés qu’on le croirait.

« Un conseil d’administration ne peut pas tout simplement bloquer une OPA », explique Brad Freelan, un associé chez Fasken Martineau se spécialisant en valeurs mobilières et en fusions et acquisitions. M. Freelan et son collègue Aaron Atkinson sont les auteurs de l’étude, intitulée Étude de 2015 sur les OPA hostiles canadiennes. « Quelle qu’en soit la raison, les gens croient que les règles du jeu ne sont pas équitables, et c’est un des moteurs de ce changement des règles. »

« Les résultats révèlent que, dans le cas des OPA de premiers joueurs où l’initiateur d’une OPA hostile lançait une course pour le contrôle de la société et mettait celle-ci "en jeu", les initiateurs réussissaient dans 55 % des cas, mais les émetteurs visés demeuraient indépendants dans 28 % des cas », indique M. Atkinson. « Certains intervenants ont été particulièrement surpris de constater le nombre d’émetteurs visés demeurés indépendants, ce qui tend à mettre en doute le caractère inéquitable des règles du jeu ».

« Toutefois, en présence de concurrents, l’initiateur d’une OPA hostile ne réussit que dans 33 % des cas », ajoute M. Freelan.